Communiqué de presse |
Rôle des États fédérés et des régions dans la lutte contre les changements climatiques : le ministre David Heurtel en rencontre avec le secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-moon |
Paris, le 4 décembre 2015 – Lors d’une rencontre privée qui a eu lieu aujourd’hui dans le cadre du Sommet des élus, le ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, M. David Heurtel, au nom du premier ministre du Québec, M. Philippe Couillard, a réaffirmé au secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-moon, que la communauté internationale pouvait compter sur le Québec dans sa lutte contre les changements climatiques. Le ministre se trouvait alors en présence d’une quinzaine d’autres représentants d’États fédérés ou de régions, dont ses homologues de la Colombie-Britannique et de l’Ontario, les ministres Mary Polak et Glen H. Murray, ainsi que le gouverneur de la Californie, M. Jerry Brown, partenaire du Québec au sein du marché du carbone. « Les États fédérés, tels que le Québec, jouent un rôle important dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’adaptation aux impacts des changements climatiques. C’est pourquoi il est important de reconnaître, sur la scène internationale, le rôle essentiel des États fédérés et des régions dans la lutte contre les changements climatiques et la pertinence des mécanismes de marché. Cette rencontre privilégiée avec M. Ban Ki-moon reconnaît notre apport essentiel aux efforts actuellement en cours à l’échelle mondiale. Ensemble, luttons contre les changements climatiques afin d’assurer une qualité de vie et une planète en santé à nos enfants. Faisons-le pour eux! », a souligné le ministre Heurtel. Le ministre a eu l’occasion de mettre de l’avant l’engagement continu du Québec sur la scène internationale, le succès de son marché du carbone, qui couvre près de 85 % de ses émissions de gaz à effet de serre (GES), ainsi que le caractère ambitieux de ses objectifs de réduction d’émissions de GES. Rappelons que le Québec vient tout juste d’adopter une cible de réduction de GES de 37,5 % par rapport au niveau de 1990 d’ici 2030. Le Québec est très actif sur la scène mondiale, notamment pour promouvoir le rôle des États fédérés et des régions dans la lutte contre les changements climatiques et l’importance de la tarification du carbone :
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SOURCE :
Marie-Catherine
Leduc |
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