En eau limpide(*), le critère de qualité est défini par une augmentation maximale de 8 uTN par rapport à la valeur naturelle ou ambiante (non influencée par une source ponctuelle affectant la turbidité de l'eau, par une pluie importante ou par la fonte) selon le contexte.
Ce critère de qualité s'applique aux eaux douces (dulçaquicoles), estuariennes et marines.
(*) Le terme "eau limpide" réfère à la portion d'un hydrogramme où les concentratins de matières en suspension sont basses (<25 mg/L) (Caux et al., 1997). Les teneurs peuvent être élevées en raison des caractéristiques naturelles du milieu (par exemple, dans la zone de turbidité maximale du Saint-Laurent) ou, périodiquement, en raison des conditions climatiques.
En eau limpide(*), le critère de qualité est défini par une augmentation moyenne maximale de 2 uTN par rapport à la valeur naturelle ou ambiante (non influencée par une source ponctuelle affectant la turbidité de l'eau, par une pluie importante ou par la fonte) selon le contexte.
En eau turbide(*), le critère de qualité est défini soit:
- par une augmentation maximale en tout temps de 8 uTN par rapport à la
valeur ambiante lorsque celle-ci est de 8 à 80 uTN;
- par une augmentation de 10 % par rapport à la valeur ambiante lorsque celle-ci
est supérieure à 80 uTN mesurée à un moment donné.
Ces critères de qualité s'appliquent aux eaux douces (dulçaquicoles), estuariennes et marines.
(*) Les termes "eau limpide" et "eau turbide" réfèrent à la portion d'un hydrogramme où les concentrations de matières en suspension sont respectivement basses (<25 mg/L) et élevées (>25 mg/L) ) (Caux et al., 1997). Les teneurs peuvent être élevées en raison des caractéristiques naturelles du milieu (par exemple, dans la zone de turbidité maximale du Saint-Laurent) ou, périodiquement, en raison des conditions climatiques.
La turbidité de l'eau ne doit pas dépasser de plus de 5,0 uTN la turbidité naturelle lorsque celle-ci est faible (< 50 uTN).
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